L’EPS dispense aujourd’hui un enseignement ancré sur un large éventail d’APSA ( activités physiques, sportives et artistiques ) qui intègre donc également la danse, les activités de peine nature et les arts du cirque.
L’EPS est une discipline aux nombreux apprentissages qui, si elle peut établir des liaisons avec d’autres disciplines, n’en garde pas moins une spécificité liée au caractère actif de son enseignement. Les jeunes y découvrent une expérience corporelle exigeante mais source d’un plaisir personnel et collectif. D’ailleurs, ils la classent ainsi comme leur discipline préférée. Cependant, elle peut participer incontestablement à l’amélioration de la santé publique et s’inscrire davantage dans l’équilibre fonctionnel du temps scolaire des adolescents pour lesquels on reconnaît de plus en plus la nécessité d’une activité physique régulière.
C’est pourquoi il nous semble nécessaire d’assurer son développement en :

Enfin nous vous avons les plus grandes inquiétudes concernant la carte des formations du futur « lycée des métiers de la montagne », dont l’opportunité doit faire l’objet d’études ex-trêmement sérieuses et d’un débat approfondi dans les instances de concertation. En effet l’articulation formation-qualification-emploi-territoire est une problématique au cœur du PRDF que vient d’élaborer en concertation la région PACA.
Compte-tenu des ressources de notre académie, celle-ci est à même (en développant son offre de formation) de répondre à un certain nombre de projets de métiers émergents dans la filière sportive. Les savoirs et compétences que développe l’EPS peuvent ainsi contri-buer à une insertion professionnelle réussie dans un secteur économique diversifié en plein essor.
Ce qui permettrait d’articuler au mieux « réussite scolaire, universitaire et professionnelle ».